Suite à mes discussions avec les entrepreneurs j’ai pu constater l’existence de deux grands types de motivation :
- les personnes qui sont devenues entrepreneurs pour de mauvaises raisons (envie de fuire le monde du salariat, envie d’être riche rapidement, besoin de prouver sa supériorité, etc…)
- les personnes qui aiment leur métier et pour qui l’entrepreneriat est un moyen de développement. J’ai même envie d’aller plus loin, et dire que ce type de personnes réalisent une mision sans même s’en rendre compte.
Savez-vous ce qu’est la motivation négative ? Quand et comment l’appliquer ? Avant de passer aux explications, que diriez-vous de réaliser un petit test pour faire le point sur votre quotidien professionnel ? Vous pourrez ainsi mieux comprendre les concepts liés à la motivation négative.
Ça y est, vous avez décidé de vous lancer dans la réalisation de votre bilan de compétences. C’est une excellente décision : cet outil va vous permettre de mieux vous connaître, d’analyser vos motivations et vos valeurs, et de définir votre projet professionnel. Mais attention, il y a quelques pièges à éviter si vous ne voulez pas passer à côté de cette étape importante de votre vie professionnelle. Dans cet article, je vais vous présenter 6 règles à ne surtout pas suivre si vous voulez que votre bilan de compétences soit une réussite.
Trouver sa vocation peut être un processus long et parfois difficile – me dit ChatGPT et je suis d’accord avec lui parce que je l’ai vécu. Je vous propose de faire une comparaison entre ses conseils et mon expérience personnelle.
En ce moment, je fais beaucoup de networking et quand je me présente, très souvent les personnes en face de moi partagent d’une manière indirecte leurs croyances à propos des bilans de compétences. J’adore ces échanges car ils me permettent de mieux comprendre comment le bilan de compétences est perçu par la société, mais aussi ils me donnent des idées pour mes articles 😉 Voici donc la liste des fausses croyances sur le sujet.
Vous pensiez que les bilans de compétences aboutissaient toujours à une reconversion professionnelle ? Et bien pour la plupart des personnes, ce n’est pas le cas. Au premier abord, ce chiffre de 80 % peut vous paraître étonnant, mais cet article va vous aider à mieux comprendre pourquoi la majorité des bilans de compétences ne finissent pas en reconversion professionnelle.
Suite à mes discussions avec les entrepreneurs j’ai pu constater l’existence de deux grands types de motivation :
- les personnes qui sont devenues entrepreneurs pour de mauvaises raisons (envie de fuire le monde du salariat, envie d’être riche rapidement, besoin de prouver sa supériorité, etc…)
- les personnes qui aiment leur métier et pour qui l’entrepreneriat est un moyen de développement. J’ai même envie d’aller plus loin, et dire que ce type de personnes réalisent une mision sans même s’en rendre compte.
La première personne à avoir employé le terme complexe de Dieu est Ernest Jones, un psychiatre et psychanalyste gallois qui l’a pour la première fois utilisé dans son livre “Essays in Applied Psycho-Analysis” en 1923.
Vous avez des questions sur les bilans de compétences et le coaching professionnel ?
La première personne à avoir employé le terme complexe de Dieu est Ernest Jones, un psychiatre et psychanalyste gallois qui l’a pour la première fois utilisé dans son livre “Essays in Applied Psycho-Analysis” en 1923.